La fin de la dualité

 


Dès lors que le désintérêt pour la pensée se produit, celle -ci n'est plus crue, plus regardée en tant que souveraine du vivant.

Il s'ensuit la disparition de la surimposition des pensées sur le perceptif ainsi que la fonction de projection du mental. De par ces 2 caractéristiques, on réalise alors que non seulement tout ce qui est, est de même nature  mais aussi que l'on est tout ce qui est.

Il n'y a jamais eu deux choses séparées mais une Unité fondamentale qui se vit  et se sait être. Seules les fonctionnalités mentales créent de façon imaginaire, un sens de séparation par projection partielle et surimposition au réel perceptif c'est à dire au vécu direct.

 

La dualité qui semble être et se vivre à l'état "humanité" correspond tout simplement au contenu du film, à un rêve.

 

Il n'y a pas de monde ni d'individu , il n'y a pas la conscience et la manifestation, il y a être qui se vit et se sait être, unité absolue et sans contraire.